Le bateau cinéma,
de Bretagne en Casamance
Projection présentée par Pauline LE PECULIER et Yann ILLIEN
vendredi 2 décembre 2011
19h30 : apéritif – 20h15 : projection – 21h30 : repas
Salle André Gide – 147 route de Dieppe - NOTRE DAME DE BONDEVILLE
Cette soirée est au bénéfice de l’association « Aux cinéphiles de l’eau »
inscriptions pour cette soirée auprès d’A.B.M. – Voyage…Voyages
pour le mardi 29 novembre dernier délai
par mail : abm.rouen@free.fr ou par tél. 02.35.14.03.52 ou 02.35.15.41.33
entrée : adhérents A.B.M., bondevillais et étudiants : 11,50 € - autres : 14,00 €
En partenariat avec la ville de Notre Dame de Bondeville
L'Association « Aux cinéphiles de l’eau » :
Le but de l'association "Aux cinéphiles de l'eau" est de développer des activités culturelles grâce à
notre cinéma itinérant sur voilier. Nous avons à bord de notre bateau tout le matériel nécessaire pour organiser des projections de film. Nous déplaçons ainsi un espace de cinéma gratuit et
accessible à tous, au service des villages les plus reculés. Nous projetons des films appartenant à la cinématographie du pays d’accueil, peu diffusée et traitant de problèmes locaux. Nous avons
centré notre projet sur la Casamance, une région au sud du Sénégal traversé par un fleuve irriguant de nombreux petits villages enclavés et sans électricité. Pour la plupart des villageois, notre
cinéma est l'occasion pour eux de découvrir pour la 1ere fois un film sur grand écran, et qui plus est africain.
Notre périple en voilier, de la Bretagne à la Casamance, s'est effectué entre l'été 2008 et l'été 2010. Nous avons séjourné dans différents villages de Casamance, organisant des projections de
films africains. Les villageois ont ainsi découvert le cinéma de leur pays, très peu diffusé dans toute l'Afrique de l'ouest, qui a pourtant un sens éducatif. Nous permettons ainsi au cinéma
africain d'être diffuser dans son pays, et à une population qui n'y a ordinaire pas accès.
La devise de notre projet est le partage, se servant du cinéma comme vecteur d'échange. Nous pensons qu'il est parfois plus essentiel de partager de l'échange humain, de l'offre culturelle plutôt
que du matériel.